Propreté urbaine

La propreté d’une ville est un élément essentiel de la qualité de vie des habitants et il est de la responsabilité de chacun d’agir pour rendre sa ville plus propre en adoptant les bons gestes.

C’est l’affaire de tous : celle de la municipalité mais aussi celle de tous les habitants de la ville.

Un service dédié pour un cadre de vie agréable

Tous les jours, la ville met ses compétences au service des Ussellois pour :

  • Collecter les dépôts sauvages et vider les corbeilles,
  • Nettoyer, balayer et laver les espaces publics,
  • Saler et déneiger les chaussées en hiver,
  • Ramasser les feuilles mortes et désherber,
  • Entretenir le mobilier urbain.

Les gestes simples et quotidiens de chacun sont aussi importants pour assurer un cadre de vie agréable.

Des gestes simples dans mon quotidien

Chaque propriétaire de chien est tenu de ramasser les déjections de son animal, de ne pas le laisser divaguer et de le tenir en laisse.

Pour faciliter la vie des propriétaires de chiens, la ville met à votre disposition des sacs canins (à ce jour 12 «toutounets » répartis en centre-ville).

Le non-ramassage des déjections sur la voie publique est passible d’une amende.

Exécution d’une décision du juge pénal

Vous souhaitez savoir comment une décision de condamnation prononcée par un juge pénal est mise à exécution ? Nous vous présentons les informations à connaître.

    Le moment à partir duquel la décision de condamnation est mise à exécution dépend de la peine prononcée par les juridictions pénales.

    En principe, le ministère public dispose d’un délai d’environ 15 jours à compter du moment où la décision est devenue définitive pour faire exécuter la condamnation pénale.

    Il existe des exceptions. En effet, une sanction pénale peut s’appliquer avant que la décision soit devenue définitive dès lors qu’est prononcé :

    • Un maintien en prison alors que le condamné était déjà emprisonné

    • Un mandat de dépôt ou un mandat d’arrêt

    • Une sanction contre un mineur, autre qu’une peine d’emprisonnement.

    Les juridictions pénales peuvent également ordonner que la décision de condamnation soit mise à exécution juste après l’audience, notamment lorsqu’elles prononcent :

    En savoir plus sur les règles applicables aux femmes condamnées enceintes

    Si une femme enceinte de plus de 12 semaines est condamnée à une peine de prison ferme devenue définitive, le procureur de la République ou le juge de l’application des peines doivent faire en sorte que son exécution soit différée ou que la peine soit exécutée en milieu ouvert.

      La peine d’amende peut être exécutée dès le prononcé du jugement ou lorsque la décision est signifiée à la personne condamnée.

      Le  Trésor Public  doit s’organiser pour que le paiement de l’amende soit effectué dans les meilleurs délais.

      Lorsque la peine d’amende a été prononcé par le  tribunal de police , le  tribunal correctionnel  ou le  tribunal pour enfants , la personne condamnée a 1 mois à compter du prononcé du jugement pour procéder au règlement.

      À noter

      Si la personne n’était pas présente à l’audience, le délai d’un mois court à compter de la signification du jugement.

      Si l’amende est réglée dans ce délai, son montant est diminué de 20 % dans la limite de 1 500 € .

      Il en est de même si la personne condamnée a commencé à régler l’amende, mais qu’elle a prévu un échelonnement avec le Trésor Public.

      Exemple

      Une personne est condamnée à une amende de 3 750 € . Si elle procède au règlement dès le prononcé du jugement, son amende peut être réduite de 20 % . Elle passe donc de 3 750 € à 3 000 € .

      La même personne est condamnée à une amende de 10 000 € . Si elle commence à régler dès le prononcé du jugement et qu’elle a prévu un échelonnement, elle peut bénéficier d’une réduction de 1 500 € . L’amende s’élève donc à 8 500 € .

        L’autorité compétente pour faire exécuter une décision pénale dépend de la peine prononcée et de la juridiction qui a jugé la personne condamnée :

        • En cas de condamnation à une peine d’amende, le paiement est réclamé par le  Trésor public , au nom du procureur de la République.

        • Lorsqu’une décision de condamnation est rendue par le  tribunal de police  ou le  tribunal correctionnel , le procureur de la République la fait exécuter.

        • Lorsque la condamnation a été prononcée par la cour d’assises, c’est le procureur général qui doit mettre à exécution cette décision.

        Pour que la décision soit mise à exécution, le ministère public doit vérifier l’identité du condamné, puis contrôler que la peine est exécutable.

        La peine est exécutable lorsque les 3 conditions suivantes sont réunies :

        En fonction de la peine prononcée, l’autorité compétente (ministère public ou  Trésor Public ) doit prendre des mesures supplémentaires pour que la décision soit appliquée.

        Le Trésor Public doit toujours rechercher le paiement de l’amende.

        Le mode de paiement de l’amende est précisé dans la décision de justice. En règle générale, l’amende doit être payée auprès d’un centre des finances publiques dont les coordonnées sont mentionnées dans la décision.

        Si la personne ne règle pas tout ou partie de l’amende, elle peut être incarcérée.

          Pour que la décision soit exécutée, le procureur de la République doit simplement la notifier au condamné et en fournir une copie au juge de l’application des peines.

            Les mesures que prend le ministère public pour faire exécuter la décision ne sont pas les mêmes si le condamné est libre ou s’il est déjà en prison.

            Lorsque le condamné n’est pas encore détenu, le Parquet lui demande de se présenter dans un établissement pénitentiaire déterminé et dans un délai qu’il fixe.

            À savoir

            S’il existe un risque de fuite ou si la personne ne se présente pas, le ministère public peut faire appel aux forces de l’ordre pour l’arrêter.

            Puis, le ministère public transmet un extrait de la décision de condamnation au greffe de l’établissement pénitentiaire dont dépend le condamné.

            Si la personne a été condamnée à une peine de plus de 3 mois, le Parquet doit également fournir une notice dans laquelle sont précisés :

            • L’état civil du condamné

            • Sa situation professionnelle

            • Sa situation familiale (marié, pacsé, célibataire, etc.)

            • Son comportement habituel

            • Ses antécédents judiciaires.

            Dès réception de ces documents, la peine est mise à exécution.

              Lorsque la personne condamnée est déjà détenue (exemple : en cas de détention provisoire), le Parquet doit transmettre un extrait de la décision de condamnation au greffe de l’établissement pénitentiaire dont elle dépend.

              Si la personne a été condamnée à une peine de plus de 3 mois, le ministère public doit également fournir une notice dans laquelle sont précisés les informations suivantes :

              • L’état civil du condamné

              • Sa situation professionnelle

              • Sa situation familiale (marié, pacsé, célibataire, etc.)

              • Son comportement habituel

              • Ses antécédents judiciaires.

              Dès réception de tous ces documents, la situation carcérale de la personne est actualisée.

                  Droit d’information de la victime

                  Une fois la décision devenue définitive, la victime peut demander à être informée (ou à ne pas être informée) de la mise à exécution de la condamnation pénale et de la libération de l’auteur des faits.

                  Pour cela, elle doit remplir un formulaire :

                • Recueil de la volonté de la victime d’être ou de ne pas être informée sur l’exécution de la peine
                • Elle doit joindre à sa demande une photocopie de sa pièce d’identité (par exemple, carte d’identité, titre de séjour en cours de validité).

                  Ces éléments doivent être transmis au juge délégué aux victimes.

                  Où s’adresser ?

                   Tribunal judiciaire 

                  Droit d’indemnisation de la victime

                  La juridiction pénale peut condamner l’auteur des faits à verser une indemnisation à la victime.

                  Dans ce cas, le versement des dommages et intérêts a lieu dans des conditions qui dépendent de la peine prononcée en plus de l’indemnisation de la victime.

                Sortir ses poubelles le jour ou la veille de la collecte et déposer ses sacs d’ordures ménagères (sac noir) dans le container prévu à cet effet.
                Collecte des sacs jaunes : tous les mercredis matins.

                De nombreux points propres complets servant au tri des déchets et au recyclage sont disposés dans toute la ville.

                L’écobuage ou le brûlage des déchets verts (feuilles, branches …) à l’air libre est interdit !
                La loi du 18 novembre 2011 et l’arrêté préfectoral pour le département de la Corrèze du 7 avril 2015 mentionne cette interdiction.

                Exécution d’une décision du juge pénal

                Vous souhaitez savoir comment une décision de condamnation prononcée par un juge pénal est mise à exécution ? Nous vous présentons les informations à connaître.

                  Le moment à partir duquel la décision de condamnation est mise à exécution dépend de la peine prononcée par les juridictions pénales.

                  En principe, le ministère public dispose d’un délai d’environ 15 jours à compter du moment où la décision est devenue définitive pour faire exécuter la condamnation pénale.

                  Il existe des exceptions. En effet, une sanction pénale peut s’appliquer avant que la décision soit devenue définitive dès lors qu’est prononcé :

                  • Un maintien en prison alors que le condamné était déjà emprisonné

                  • Un mandat de dépôt ou un mandat d’arrêt

                  • Une sanction contre un mineur, autre qu’une peine d’emprisonnement.

                  Les juridictions pénales peuvent également ordonner que la décision de condamnation soit mise à exécution juste après l’audience, notamment lorsqu’elles prononcent :

                  En savoir plus sur les règles applicables aux femmes condamnées enceintes

                  Si une femme enceinte de plus de 12 semaines est condamnée à une peine de prison ferme devenue définitive, le procureur de la République ou le juge de l’application des peines doivent faire en sorte que son exécution soit différée ou que la peine soit exécutée en milieu ouvert.

                    La peine d’amende peut être exécutée dès le prononcé du jugement ou lorsque la décision est signifiée à la personne condamnée.

                    Le  Trésor Public  doit s’organiser pour que le paiement de l’amende soit effectué dans les meilleurs délais.

                    Lorsque la peine d’amende a été prononcé par le  tribunal de police , le  tribunal correctionnel  ou le  tribunal pour enfants , la personne condamnée a 1 mois à compter du prononcé du jugement pour procéder au règlement.

                    À noter

                    Si la personne n’était pas présente à l’audience, le délai d’un mois court à compter de la signification du jugement.

                    Si l’amende est réglée dans ce délai, son montant est diminué de 20 % dans la limite de 1 500 € .

                    Il en est de même si la personne condamnée a commencé à régler l’amende, mais qu’elle a prévu un échelonnement avec le Trésor Public.

                    Exemple

                    Une personne est condamnée à une amende de 3 750 € . Si elle procède au règlement dès le prononcé du jugement, son amende peut être réduite de 20 % . Elle passe donc de 3 750 € à 3 000 € .

                    La même personne est condamnée à une amende de 10 000 € . Si elle commence à régler dès le prononcé du jugement et qu’elle a prévu un échelonnement, elle peut bénéficier d’une réduction de 1 500 € . L’amende s’élève donc à 8 500 € .

                      L’autorité compétente pour faire exécuter une décision pénale dépend de la peine prononcée et de la juridiction qui a jugé la personne condamnée :

                      • En cas de condamnation à une peine d’amende, le paiement est réclamé par le  Trésor public , au nom du procureur de la République.

                      • Lorsqu’une décision de condamnation est rendue par le  tribunal de police  ou le  tribunal correctionnel , le procureur de la République la fait exécuter.

                      • Lorsque la condamnation a été prononcée par la cour d’assises, c’est le procureur général qui doit mettre à exécution cette décision.

                      Pour que la décision soit mise à exécution, le ministère public doit vérifier l’identité du condamné, puis contrôler que la peine est exécutable.

                      La peine est exécutable lorsque les 3 conditions suivantes sont réunies :

                      En fonction de la peine prononcée, l’autorité compétente (ministère public ou  Trésor Public ) doit prendre des mesures supplémentaires pour que la décision soit appliquée.

                      Le Trésor Public doit toujours rechercher le paiement de l’amende.

                      Le mode de paiement de l’amende est précisé dans la décision de justice. En règle générale, l’amende doit être payée auprès d’un centre des finances publiques dont les coordonnées sont mentionnées dans la décision.

                      Si la personne ne règle pas tout ou partie de l’amende, elle peut être incarcérée.

                        Pour que la décision soit exécutée, le procureur de la République doit simplement la notifier au condamné et en fournir une copie au juge de l’application des peines.

                          Les mesures que prend le ministère public pour faire exécuter la décision ne sont pas les mêmes si le condamné est libre ou s’il est déjà en prison.

                          Lorsque le condamné n’est pas encore détenu, le Parquet lui demande de se présenter dans un établissement pénitentiaire déterminé et dans un délai qu’il fixe.

                          À savoir

                          S’il existe un risque de fuite ou si la personne ne se présente pas, le ministère public peut faire appel aux forces de l’ordre pour l’arrêter.

                          Puis, le ministère public transmet un extrait de la décision de condamnation au greffe de l’établissement pénitentiaire dont dépend le condamné.

                          Si la personne a été condamnée à une peine de plus de 3 mois, le Parquet doit également fournir une notice dans laquelle sont précisés :

                          • L’état civil du condamné

                          • Sa situation professionnelle

                          • Sa situation familiale (marié, pacsé, célibataire, etc.)

                          • Son comportement habituel

                          • Ses antécédents judiciaires.

                          Dès réception de ces documents, la peine est mise à exécution.

                            Lorsque la personne condamnée est déjà détenue (exemple : en cas de détention provisoire), le Parquet doit transmettre un extrait de la décision de condamnation au greffe de l’établissement pénitentiaire dont elle dépend.

                            Si la personne a été condamnée à une peine de plus de 3 mois, le ministère public doit également fournir une notice dans laquelle sont précisés les informations suivantes :

                            • L’état civil du condamné

                            • Sa situation professionnelle

                            • Sa situation familiale (marié, pacsé, célibataire, etc.)

                            • Son comportement habituel

                            • Ses antécédents judiciaires.

                            Dès réception de tous ces documents, la situation carcérale de la personne est actualisée.

                                Droit d’information de la victime

                                Une fois la décision devenue définitive, la victime peut demander à être informée (ou à ne pas être informée) de la mise à exécution de la condamnation pénale et de la libération de l’auteur des faits.

                                Pour cela, elle doit remplir un formulaire :

                              • Recueil de la volonté de la victime d’être ou de ne pas être informée sur l’exécution de la peine
                              • Elle doit joindre à sa demande une photocopie de sa pièce d’identité (par exemple, carte d’identité, titre de séjour en cours de validité).

                                Ces éléments doivent être transmis au juge délégué aux victimes.

                                Où s’adresser ?

                                 Tribunal judiciaire 

                                Droit d’indemnisation de la victime

                                La juridiction pénale peut condamner l’auteur des faits à verser une indemnisation à la victime.

                                Dans ce cas, le versement des dommages et intérêts a lieu dans des conditions qui dépendent de la peine prononcée en plus de l’indemnisation de la victime.

                              Vous êtes propriétaire ou locataire ?
                              Il vous appartient d’entretenir les trottoirs et caniveaux devant votre porte (balayage, désherbage) ainsi que d’élaguer les branches et les haies dépassant sur la voie publique.

                              De même, vous devez ramasser les feuilles tombées sur les trottoirs et caniveaux devant votre maison ou immeuble ainsi que déneiger et saler en cas de chute de neige et de gel.

                              L’entretien des devantures des commerces relève de la responsabilité de l’exploitant.

                              Ne jetez pas de papiers, mégots ou autres déchets au sol.
                              Les contrevenants s’exposent à une contravention.

                              Tout procédé d’affichage destiné à signaler ou faire de la publicité est considéré comme un affichage sauvage et est interdit sur les voies et bâtiments publics, en dehors des espaces d’affichage libre et des emplacements réservés à la publicité ou faisant l’objet d’une autorisation de la part de la commune.

                              En cas de violation, le contrevenant est mis en demeure d’enlever et de nettoyer tout procédé d’affichage utilisé sous 15 jours, faute de quoi son manquement entraîne le paiement de la facture de nettoyage.

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