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7 Wonders : La huitième merveille du monde ?

Un nouveau jeu de société qui fait fureur dans le monde entier a conquis le cœur des ados de l’Espace Jeunes

Primé dans pratiquement tous les festivals de jeu de la planète depuis sa sortie en 2010, 7 Wonders a réussi l’exploit de réconcilier aussi bien les joueurs occasionnels que les hardcore gamers autour d’un jeu de cartes à la fois simple, rapide et stimulant. Malgré un titre anglais, 7 Wonders est une création française, pour laquelle l’auteur cherchait à développer un jeu pouvant rassembler un grand nombre de joueurs sans que ces derniers ne s’ennuient en attendant leur tour… tout le monde s’accord à dire que le pari est gagné. Mais qu’est-ce que les ados de l’Espace Jeunes en pensent ?

7-wonders-zMathéo : C’est un jeu vraiment intéressant parce qu’on peut rassembler plein de joueurs autour d’une table sans que cela ne se répercute sur le plaisir de jouer, du fait que le système de jeu permet des parties rapides (environ 30 minutes) et les règles sont simples à assimiler. Cependant le fait que le jeu soit orienté vers un nombre de joueurs élevé rend les parties à peu de joueurs (2, 3 ou 4) moins intéressantes. En effet pendant une partie chaque joueur se voit attribuer sept cartes, chacun en choisit une et passe les restantes à son voisin. Cette méthode de jeu implique donc que plus le nombre de participants à la partie est grand, plus le nombre total de cartes augmente et celles-ci sont plus variées, augmentant les possibilités de stratégies. Au final je dirais qu’il s’agit d’un excellent jeu du moment que l’on joue à au moins quatre et qu’il confirme bien l’adage « plus on est de fous plus on rit. »

Tony : Ce qui est vraiment bien c’est qu’il est rapide à jouer et comme on joue en simultané, il n’y a pas d’attente. Pour espérer gagner, il faut toujours regarder ce que font les autres joueurs (surtout ses voisins) et adapter sa stratégie à la leur.

Timoté : Avant, je jouais beaucoup à Carcassonne, mais j’ai récemment découvert 7 Wonders. C’est une toute autre méthode de jeu que je n’avais jamais connue auparavant et qui permet de jouer avec ses voisins. Bref, dans ce jeu l’ennui n’est pas permis !

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De la musique à décorner les bœufs !

L’association Boeuf qui peut a pour objectif de fédérer les musiciens ussellois. Rencontre avec Sylvain Fedor, l’un des membres fondateurs.

Comment l’idée de cette association est-elle venue ?
Durant l’été 2010, nous étions une bande de musiciens et nous avions quelques difficultés à trouver un local pour répéter. J’ai eu l’occasion de venir répéter dans la salle de musique de l’Espace Jeunes, et de fil en aiguille nous avons décidé de fonder une association et de créer un partenariat avec l’Espace Jeunes de la ville d’Ussel afin de profiter des locaux lorsque celui-ci est fermé.

Quels sont les objectifs de l’association ?
L’objectif principal est de rassembler les musiciens du territoire dans le but de faire des bœufs, c’est-à-dire des rencontres musicales informelles – quels que soient leurs univers musicaux respectifs – et de favoriser la création de groupes par le biais de ces rencontres. Un autre objectif est d’organiser des concerts et autres événements sur la commune.

Quels sont vos projets pour les mois qui viennent ?
Nous allons participer à l’organisation d’un concert le 25 février 2012 avec le Service Culturel et l’Espace Jeunes de la Mairie d’Ussel. Dans l’absolu, ce concert devrait accueillir deux formations nées de l’association.