Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ? Désormais, vous pouvez réaliser votre demande en ligne sur la plateforme du Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU).

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Exécution d’une décision du juge pénal

Vous souhaitez savoir comment une décision de condamnation prononcée par un juge pénal est mise à exécution ? Nous vous présentons les informations à connaître.

    Le moment à partir duquel la décision de condamnation est mise à exécution dépend de la peine prononcée par les juridictions pénales.

    En principe, le ministère public dispose d’un délai d’environ 15 jours à compter du moment où la décision est devenue définitive pour faire exécuter la condamnation pénale.

    Il existe des exceptions. En effet, une sanction pénale peut s’appliquer avant que la décision soit devenue définitive dès lors qu’est prononcé :

    • Un maintien en prison alors que le condamné était déjà emprisonné

    • Un mandat de dépôt ou un mandat d’arrêt

    • Une sanction contre un mineur, autre qu’une peine d’emprisonnement.

    Les juridictions pénales peuvent également ordonner que la décision de condamnation soit mise à exécution juste après l’audience, notamment lorsqu’elles prononcent :

    En savoir plus sur les règles applicables aux femmes condamnées enceintes

    Si une femme enceinte de plus de 12 semaines est condamnée à une peine de prison ferme devenue définitive, le procureur de la République ou le juge de l’application des peines doivent faire en sorte que son exécution soit différée ou que la peine soit exécutée en milieu ouvert.

      La peine d’amende peut être exécutée dès le prononcé du jugement ou lorsque la décision est signifiée à la personne condamnée.

      Le  Trésor Public  doit s’organiser pour que le paiement de l’amende soit effectué dans les meilleurs délais.

      Lorsque la peine d’amende a été prononcé par le  tribunal de police , le  tribunal correctionnel  ou le  tribunal pour enfants , la personne condamnée a 1 mois à compter du prononcé du jugement pour procéder au règlement.

      À noter

      Si la personne n’était pas présente à l’audience, le délai d’un mois court à compter de la signification du jugement.

      Si l’amende est réglée dans ce délai, son montant est diminué de 20 % dans la limite de 1 500 € .

      Il en est de même si la personne condamnée a commencé à régler l’amende, mais qu’elle a prévu un échelonnement avec le Trésor Public.

      Exemple

      Une personne est condamnée à une amende de 3 750 € . Si elle procède au règlement dès le prononcé du jugement, son amende peut être réduite de 20 % . Elle passe donc de 3 750 € à 3 000 € .

      La même personne est condamnée à une amende de 10 000 € . Si elle commence à régler dès le prononcé du jugement et qu’elle a prévu un échelonnement, elle peut bénéficier d’une réduction de 1 500 € . L’amende s’élève donc à 8 500 € .

        L’autorité compétente pour faire exécuter une décision pénale dépend de la peine prononcée et de la juridiction qui a jugé la personne condamnée :

        • En cas de condamnation à une peine d’amende, le paiement est réclamé par le  Trésor public , au nom du procureur de la République.

        • Lorsqu’une décision de condamnation est rendue par le  tribunal de police  ou le  tribunal correctionnel , le procureur de la République la fait exécuter.

        • Lorsque la condamnation a été prononcée par la cour d’assises, c’est le procureur général qui doit mettre à exécution cette décision.

        Pour que la décision soit mise à exécution, le ministère public doit vérifier l’identité du condamné, puis contrôler que la peine est exécutable.

        La peine est exécutable lorsque les 3 conditions suivantes sont réunies :

        En fonction de la peine prononcée, l’autorité compétente (ministère public ou  Trésor Public ) doit prendre des mesures supplémentaires pour que la décision soit appliquée.

        Le Trésor Public doit toujours rechercher le paiement de l’amende.

        Le mode de paiement de l’amende est précisé dans la décision de justice. En règle générale, l’amende doit être payée auprès d’un centre des finances publiques dont les coordonnées sont mentionnées dans la décision.

        Si la personne ne règle pas tout ou partie de l’amende, elle peut être incarcérée.

          Pour que la décision soit exécutée, le procureur de la République doit simplement la notifier au condamné et en fournir une copie au juge de l’application des peines.

            Les mesures que prend le ministère public pour faire exécuter la décision ne sont pas les mêmes si le condamné est libre ou s’il est déjà en prison.

            Lorsque le condamné n’est pas encore détenu, le Parquet lui demande de se présenter dans un établissement pénitentiaire déterminé et dans un délai qu’il fixe.

            À savoir

            S’il existe un risque de fuite ou si la personne ne se présente pas, le ministère public peut faire appel aux forces de l’ordre pour l’arrêter.

            Puis, le ministère public transmet un extrait de la décision de condamnation au greffe de l’établissement pénitentiaire dont dépend le condamné.

            Si la personne a été condamnée à une peine de plus de 3 mois, le Parquet doit également fournir une notice dans laquelle sont précisés :

            • L’état civil du condamné

            • Sa situation professionnelle

            • Sa situation familiale (marié, pacsé, célibataire, etc.)

            • Son comportement habituel

            • Ses antécédents judiciaires.

            Dès réception de ces documents, la peine est mise à exécution.

              Lorsque la personne condamnée est déjà détenue (exemple : en cas de détention provisoire), le Parquet doit transmettre un extrait de la décision de condamnation au greffe de l’établissement pénitentiaire dont elle dépend.

              Si la personne a été condamnée à une peine de plus de 3 mois, le ministère public doit également fournir une notice dans laquelle sont précisés les informations suivantes :

              • L’état civil du condamné

              • Sa situation professionnelle

              • Sa situation familiale (marié, pacsé, célibataire, etc.)

              • Son comportement habituel

              • Ses antécédents judiciaires.

              Dès réception de tous ces documents, la situation carcérale de la personne est actualisée.

                  Droit d’information de la victime

                  Une fois la décision devenue définitive, la victime peut demander à être informée (ou à ne pas être informée) de la mise à exécution de la condamnation pénale et de la libération de l’auteur des faits.

                  Pour cela, elle doit remplir un formulaire :

                • Recueil de la volonté de la victime d’être ou de ne pas être informée sur l’exécution de la peine
                • Elle doit joindre à sa demande une photocopie de sa pièce d’identité (par exemple, carte d’identité, titre de séjour en cours de validité).

                  Ces éléments doivent être transmis au juge délégué aux victimes.

                  Où s’adresser ?

                   Tribunal judiciaire 

                  Droit d’indemnisation de la victime

                  La juridiction pénale peut condamner l’auteur des faits à verser une indemnisation à la victime.

                  Dans ce cas, le versement des dommages et intérêts a lieu dans des conditions qui dépendent de la peine prononcée en plus de l’indemnisation de la victime.

                Exécution d’une décision du juge pénal

                Vous souhaitez savoir comment une décision de condamnation prononcée par un juge pénal est mise à exécution ? Nous vous présentons les informations à connaître.

                  Le moment à partir duquel la décision de condamnation est mise à exécution dépend de la peine prononcée par les juridictions pénales.

                  En principe, le ministère public dispose d’un délai d’environ 15 jours à compter du moment où la décision est devenue définitive pour faire exécuter la condamnation pénale.

                  Il existe des exceptions. En effet, une sanction pénale peut s’appliquer avant que la décision soit devenue définitive dès lors qu’est prononcé :

                  • Un maintien en prison alors que le condamné était déjà emprisonné

                  • Un mandat de dépôt ou un mandat d’arrêt

                  • Une sanction contre un mineur, autre qu’une peine d’emprisonnement.

                  Les juridictions pénales peuvent également ordonner que la décision de condamnation soit mise à exécution juste après l’audience, notamment lorsqu’elles prononcent :

                  En savoir plus sur les règles applicables aux femmes condamnées enceintes

                  Si une femme enceinte de plus de 12 semaines est condamnée à une peine de prison ferme devenue définitive, le procureur de la République ou le juge de l’application des peines doivent faire en sorte que son exécution soit différée ou que la peine soit exécutée en milieu ouvert.

                    La peine d’amende peut être exécutée dès le prononcé du jugement ou lorsque la décision est signifiée à la personne condamnée.

                    Le  Trésor Public  doit s’organiser pour que le paiement de l’amende soit effectué dans les meilleurs délais.

                    Lorsque la peine d’amende a été prononcé par le  tribunal de police , le  tribunal correctionnel  ou le  tribunal pour enfants , la personne condamnée a 1 mois à compter du prononcé du jugement pour procéder au règlement.

                    À noter

                    Si la personne n’était pas présente à l’audience, le délai d’un mois court à compter de la signification du jugement.

                    Si l’amende est réglée dans ce délai, son montant est diminué de 20 % dans la limite de 1 500 € .

                    Il en est de même si la personne condamnée a commencé à régler l’amende, mais qu’elle a prévu un échelonnement avec le Trésor Public.

                    Exemple

                    Une personne est condamnée à une amende de 3 750 € . Si elle procède au règlement dès le prononcé du jugement, son amende peut être réduite de 20 % . Elle passe donc de 3 750 € à 3 000 € .

                    La même personne est condamnée à une amende de 10 000 € . Si elle commence à régler dès le prononcé du jugement et qu’elle a prévu un échelonnement, elle peut bénéficier d’une réduction de 1 500 € . L’amende s’élève donc à 8 500 € .

                      L’autorité compétente pour faire exécuter une décision pénale dépend de la peine prononcée et de la juridiction qui a jugé la personne condamnée :

                      • En cas de condamnation à une peine d’amende, le paiement est réclamé par le  Trésor public , au nom du procureur de la République.

                      • Lorsqu’une décision de condamnation est rendue par le  tribunal de police  ou le  tribunal correctionnel , le procureur de la République la fait exécuter.

                      • Lorsque la condamnation a été prononcée par la cour d’assises, c’est le procureur général qui doit mettre à exécution cette décision.

                      Pour que la décision soit mise à exécution, le ministère public doit vérifier l’identité du condamné, puis contrôler que la peine est exécutable.

                      La peine est exécutable lorsque les 3 conditions suivantes sont réunies :

                      En fonction de la peine prononcée, l’autorité compétente (ministère public ou  Trésor Public ) doit prendre des mesures supplémentaires pour que la décision soit appliquée.

                      Le Trésor Public doit toujours rechercher le paiement de l’amende.

                      Le mode de paiement de l’amende est précisé dans la décision de justice. En règle générale, l’amende doit être payée auprès d’un centre des finances publiques dont les coordonnées sont mentionnées dans la décision.

                      Si la personne ne règle pas tout ou partie de l’amende, elle peut être incarcérée.

                        Pour que la décision soit exécutée, le procureur de la République doit simplement la notifier au condamné et en fournir une copie au juge de l’application des peines.

                          Les mesures que prend le ministère public pour faire exécuter la décision ne sont pas les mêmes si le condamné est libre ou s’il est déjà en prison.

                          Lorsque le condamné n’est pas encore détenu, le Parquet lui demande de se présenter dans un établissement pénitentiaire déterminé et dans un délai qu’il fixe.

                          À savoir

                          S’il existe un risque de fuite ou si la personne ne se présente pas, le ministère public peut faire appel aux forces de l’ordre pour l’arrêter.

                          Puis, le ministère public transmet un extrait de la décision de condamnation au greffe de l’établissement pénitentiaire dont dépend le condamné.

                          Si la personne a été condamnée à une peine de plus de 3 mois, le Parquet doit également fournir une notice dans laquelle sont précisés :

                          • L’état civil du condamné

                          • Sa situation professionnelle

                          • Sa situation familiale (marié, pacsé, célibataire, etc.)

                          • Son comportement habituel

                          • Ses antécédents judiciaires.

                          Dès réception de ces documents, la peine est mise à exécution.

                            Lorsque la personne condamnée est déjà détenue (exemple : en cas de détention provisoire), le Parquet doit transmettre un extrait de la décision de condamnation au greffe de l’établissement pénitentiaire dont elle dépend.

                            Si la personne a été condamnée à une peine de plus de 3 mois, le ministère public doit également fournir une notice dans laquelle sont précisés les informations suivantes :

                            • L’état civil du condamné

                            • Sa situation professionnelle

                            • Sa situation familiale (marié, pacsé, célibataire, etc.)

                            • Son comportement habituel

                            • Ses antécédents judiciaires.

                            Dès réception de tous ces documents, la situation carcérale de la personne est actualisée.

                                Droit d’information de la victime

                                Une fois la décision devenue définitive, la victime peut demander à être informée (ou à ne pas être informée) de la mise à exécution de la condamnation pénale et de la libération de l’auteur des faits.

                                Pour cela, elle doit remplir un formulaire :

                              • Recueil de la volonté de la victime d’être ou de ne pas être informée sur l’exécution de la peine
                              • Elle doit joindre à sa demande une photocopie de sa pièce d’identité (par exemple, carte d’identité, titre de séjour en cours de validité).

                                Ces éléments doivent être transmis au juge délégué aux victimes.

                                Où s’adresser ?

                                 Tribunal judiciaire 

                                Droit d’indemnisation de la victime

                                La juridiction pénale peut condamner l’auteur des faits à verser une indemnisation à la victime.

                                Dans ce cas, le versement des dommages et intérêts a lieu dans des conditions qui dépendent de la peine prononcée en plus de l’indemnisation de la victime.

                              Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

                              Exécution d’une décision du juge pénal

                              Vous souhaitez savoir comment une décision de condamnation prononcée par un juge pénal est mise à exécution ? Nous vous présentons les informations à connaître.

                                Le moment à partir duquel la décision de condamnation est mise à exécution dépend de la peine prononcée par les juridictions pénales.

                                En principe, le ministère public dispose d’un délai d’environ 15 jours à compter du moment où la décision est devenue définitive pour faire exécuter la condamnation pénale.

                                Il existe des exceptions. En effet, une sanction pénale peut s’appliquer avant que la décision soit devenue définitive dès lors qu’est prononcé :

                                • Un maintien en prison alors que le condamné était déjà emprisonné

                                • Un mandat de dépôt ou un mandat d’arrêt

                                • Une sanction contre un mineur, autre qu’une peine d’emprisonnement.

                                Les juridictions pénales peuvent également ordonner que la décision de condamnation soit mise à exécution juste après l’audience, notamment lorsqu’elles prononcent :

                                En savoir plus sur les règles applicables aux femmes condamnées enceintes

                                Si une femme enceinte de plus de 12 semaines est condamnée à une peine de prison ferme devenue définitive, le procureur de la République ou le juge de l’application des peines doivent faire en sorte que son exécution soit différée ou que la peine soit exécutée en milieu ouvert.

                                  La peine d’amende peut être exécutée dès le prononcé du jugement ou lorsque la décision est signifiée à la personne condamnée.

                                  Le  Trésor Public  doit s’organiser pour que le paiement de l’amende soit effectué dans les meilleurs délais.

                                  Lorsque la peine d’amende a été prononcé par le  tribunal de police , le  tribunal correctionnel  ou le  tribunal pour enfants , la personne condamnée a 1 mois à compter du prononcé du jugement pour procéder au règlement.

                                  À noter

                                  Si la personne n’était pas présente à l’audience, le délai d’un mois court à compter de la signification du jugement.

                                  Si l’amende est réglée dans ce délai, son montant est diminué de 20 % dans la limite de 1 500 € .

                                  Il en est de même si la personne condamnée a commencé à régler l’amende, mais qu’elle a prévu un échelonnement avec le Trésor Public.

                                  Exemple

                                  Une personne est condamnée à une amende de 3 750 € . Si elle procède au règlement dès le prononcé du jugement, son amende peut être réduite de 20 % . Elle passe donc de 3 750 € à 3 000 € .

                                  La même personne est condamnée à une amende de 10 000 € . Si elle commence à régler dès le prononcé du jugement et qu’elle a prévu un échelonnement, elle peut bénéficier d’une réduction de 1 500 € . L’amende s’élève donc à 8 500 € .

                                    L’autorité compétente pour faire exécuter une décision pénale dépend de la peine prononcée et de la juridiction qui a jugé la personne condamnée :

                                    • En cas de condamnation à une peine d’amende, le paiement est réclamé par le  Trésor public , au nom du procureur de la République.

                                    • Lorsqu’une décision de condamnation est rendue par le  tribunal de police  ou le  tribunal correctionnel , le procureur de la République la fait exécuter.

                                    • Lorsque la condamnation a été prononcée par la cour d’assises, c’est le procureur général qui doit mettre à exécution cette décision.

                                    Pour que la décision soit mise à exécution, le ministère public doit vérifier l’identité du condamné, puis contrôler que la peine est exécutable.

                                    La peine est exécutable lorsque les 3 conditions suivantes sont réunies :

                                    En fonction de la peine prononcée, l’autorité compétente (ministère public ou  Trésor Public ) doit prendre des mesures supplémentaires pour que la décision soit appliquée.

                                    Le Trésor Public doit toujours rechercher le paiement de l’amende.

                                    Le mode de paiement de l’amende est précisé dans la décision de justice. En règle générale, l’amende doit être payée auprès d’un centre des finances publiques dont les coordonnées sont mentionnées dans la décision.

                                    Si la personne ne règle pas tout ou partie de l’amende, elle peut être incarcérée.

                                      Pour que la décision soit exécutée, le procureur de la République doit simplement la notifier au condamné et en fournir une copie au juge de l’application des peines.

                                        Les mesures que prend le ministère public pour faire exécuter la décision ne sont pas les mêmes si le condamné est libre ou s’il est déjà en prison.

                                        Lorsque le condamné n’est pas encore détenu, le Parquet lui demande de se présenter dans un établissement pénitentiaire déterminé et dans un délai qu’il fixe.

                                        À savoir

                                        S’il existe un risque de fuite ou si la personne ne se présente pas, le ministère public peut faire appel aux forces de l’ordre pour l’arrêter.

                                        Puis, le ministère public transmet un extrait de la décision de condamnation au greffe de l’établissement pénitentiaire dont dépend le condamné.

                                        Si la personne a été condamnée à une peine de plus de 3 mois, le Parquet doit également fournir une notice dans laquelle sont précisés :

                                        • L’état civil du condamné

                                        • Sa situation professionnelle

                                        • Sa situation familiale (marié, pacsé, célibataire, etc.)

                                        • Son comportement habituel

                                        • Ses antécédents judiciaires.

                                        Dès réception de ces documents, la peine est mise à exécution.

                                          Lorsque la personne condamnée est déjà détenue (exemple : en cas de détention provisoire), le Parquet doit transmettre un extrait de la décision de condamnation au greffe de l’établissement pénitentiaire dont elle dépend.

                                          Si la personne a été condamnée à une peine de plus de 3 mois, le ministère public doit également fournir une notice dans laquelle sont précisés les informations suivantes :

                                          • L’état civil du condamné

                                          • Sa situation professionnelle

                                          • Sa situation familiale (marié, pacsé, célibataire, etc.)

                                          • Son comportement habituel

                                          • Ses antécédents judiciaires.

                                          Dès réception de tous ces documents, la situation carcérale de la personne est actualisée.

                                              Droit d’information de la victime

                                              Une fois la décision devenue définitive, la victime peut demander à être informée (ou à ne pas être informée) de la mise à exécution de la condamnation pénale et de la libération de l’auteur des faits.

                                              Pour cela, elle doit remplir un formulaire :

                                            • Recueil de la volonté de la victime d’être ou de ne pas être informée sur l’exécution de la peine
                                            • Elle doit joindre à sa demande une photocopie de sa pièce d’identité (par exemple, carte d’identité, titre de séjour en cours de validité).

                                              Ces éléments doivent être transmis au juge délégué aux victimes.

                                              Où s’adresser ?

                                               Tribunal judiciaire 

                                              Droit d’indemnisation de la victime

                                              La juridiction pénale peut condamner l’auteur des faits à verser une indemnisation à la victime.

                                              Dans ce cas, le versement des dommages et intérêts a lieu dans des conditions qui dépendent de la peine prononcée en plus de l’indemnisation de la victime.

                                            Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                                            Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

                                            Exécution d’une décision du juge pénal

                                            Vous souhaitez savoir comment une décision de condamnation prononcée par un juge pénal est mise à exécution ? Nous vous présentons les informations à connaître.

                                              Le moment à partir duquel la décision de condamnation est mise à exécution dépend de la peine prononcée par les juridictions pénales.

                                              En principe, le ministère public dispose d’un délai d’environ 15 jours à compter du moment où la décision est devenue définitive pour faire exécuter la condamnation pénale.

                                              Il existe des exceptions. En effet, une sanction pénale peut s’appliquer avant que la décision soit devenue définitive dès lors qu’est prononcé :

                                              • Un maintien en prison alors que le condamné était déjà emprisonné

                                              • Un mandat de dépôt ou un mandat d’arrêt

                                              • Une sanction contre un mineur, autre qu’une peine d’emprisonnement.

                                              Les juridictions pénales peuvent également ordonner que la décision de condamnation soit mise à exécution juste après l’audience, notamment lorsqu’elles prononcent :

                                              En savoir plus sur les règles applicables aux femmes condamnées enceintes

                                              Si une femme enceinte de plus de 12 semaines est condamnée à une peine de prison ferme devenue définitive, le procureur de la République ou le juge de l’application des peines doivent faire en sorte que son exécution soit différée ou que la peine soit exécutée en milieu ouvert.

                                                La peine d’amende peut être exécutée dès le prononcé du jugement ou lorsque la décision est signifiée à la personne condamnée.

                                                Le  Trésor Public  doit s’organiser pour que le paiement de l’amende soit effectué dans les meilleurs délais.

                                                Lorsque la peine d’amende a été prononcé par le  tribunal de police , le  tribunal correctionnel  ou le  tribunal pour enfants , la personne condamnée a 1 mois à compter du prononcé du jugement pour procéder au règlement.

                                                À noter

                                                Si la personne n’était pas présente à l’audience, le délai d’un mois court à compter de la signification du jugement.

                                                Si l’amende est réglée dans ce délai, son montant est diminué de 20 % dans la limite de 1 500 € .

                                                Il en est de même si la personne condamnée a commencé à régler l’amende, mais qu’elle a prévu un échelonnement avec le Trésor Public.

                                                Exemple

                                                Une personne est condamnée à une amende de 3 750 € . Si elle procède au règlement dès le prononcé du jugement, son amende peut être réduite de 20 % . Elle passe donc de 3 750 € à 3 000 € .

                                                La même personne est condamnée à une amende de 10 000 € . Si elle commence à régler dès le prononcé du jugement et qu’elle a prévu un échelonnement, elle peut bénéficier d’une réduction de 1 500 € . L’amende s’élève donc à 8 500 € .

                                                  L’autorité compétente pour faire exécuter une décision pénale dépend de la peine prononcée et de la juridiction qui a jugé la personne condamnée :

                                                  • En cas de condamnation à une peine d’amende, le paiement est réclamé par le  Trésor public , au nom du procureur de la République.

                                                  • Lorsqu’une décision de condamnation est rendue par le  tribunal de police  ou le  tribunal correctionnel , le procureur de la République la fait exécuter.

                                                  • Lorsque la condamnation a été prononcée par la cour d’assises, c’est le procureur général qui doit mettre à exécution cette décision.

                                                  Pour que la décision soit mise à exécution, le ministère public doit vérifier l’identité du condamné, puis contrôler que la peine est exécutable.

                                                  La peine est exécutable lorsque les 3 conditions suivantes sont réunies :

                                                  En fonction de la peine prononcée, l’autorité compétente (ministère public ou  Trésor Public ) doit prendre des mesures supplémentaires pour que la décision soit appliquée.

                                                  Le Trésor Public doit toujours rechercher le paiement de l’amende.

                                                  Le mode de paiement de l’amende est précisé dans la décision de justice. En règle générale, l’amende doit être payée auprès d’un centre des finances publiques dont les coordonnées sont mentionnées dans la décision.

                                                  Si la personne ne règle pas tout ou partie de l’amende, elle peut être incarcérée.

                                                    Pour que la décision soit exécutée, le procureur de la République doit simplement la notifier au condamné et en fournir une copie au juge de l’application des peines.

                                                      Les mesures que prend le ministère public pour faire exécuter la décision ne sont pas les mêmes si le condamné est libre ou s’il est déjà en prison.

                                                      Lorsque le condamné n’est pas encore détenu, le Parquet lui demande de se présenter dans un établissement pénitentiaire déterminé et dans un délai qu’il fixe.

                                                      À savoir

                                                      S’il existe un risque de fuite ou si la personne ne se présente pas, le ministère public peut faire appel aux forces de l’ordre pour l’arrêter.

                                                      Puis, le ministère public transmet un extrait de la décision de condamnation au greffe de l’établissement pénitentiaire dont dépend le condamné.

                                                      Si la personne a été condamnée à une peine de plus de 3 mois, le Parquet doit également fournir une notice dans laquelle sont précisés :

                                                      • L’état civil du condamné

                                                      • Sa situation professionnelle

                                                      • Sa situation familiale (marié, pacsé, célibataire, etc.)

                                                      • Son comportement habituel

                                                      • Ses antécédents judiciaires.

                                                      Dès réception de ces documents, la peine est mise à exécution.

                                                        Lorsque la personne condamnée est déjà détenue (exemple : en cas de détention provisoire), le Parquet doit transmettre un extrait de la décision de condamnation au greffe de l’établissement pénitentiaire dont elle dépend.

                                                        Si la personne a été condamnée à une peine de plus de 3 mois, le ministère public doit également fournir une notice dans laquelle sont précisés les informations suivantes :

                                                        • L’état civil du condamné

                                                        • Sa situation professionnelle

                                                        • Sa situation familiale (marié, pacsé, célibataire, etc.)

                                                        • Son comportement habituel

                                                        • Ses antécédents judiciaires.

                                                        Dès réception de tous ces documents, la situation carcérale de la personne est actualisée.

                                                            Droit d’information de la victime

                                                            Une fois la décision devenue définitive, la victime peut demander à être informée (ou à ne pas être informée) de la mise à exécution de la condamnation pénale et de la libération de l’auteur des faits.

                                                            Pour cela, elle doit remplir un formulaire :

                                                          • Recueil de la volonté de la victime d’être ou de ne pas être informée sur l’exécution de la peine
                                                          • Elle doit joindre à sa demande une photocopie de sa pièce d’identité (par exemple, carte d’identité, titre de séjour en cours de validité).

                                                            Ces éléments doivent être transmis au juge délégué aux victimes.

                                                            Où s’adresser ?

                                                             Tribunal judiciaire 

                                                            Droit d’indemnisation de la victime

                                                            La juridiction pénale peut condamner l’auteur des faits à verser une indemnisation à la victime.

                                                            Dans ce cas, le versement des dommages et intérêts a lieu dans des conditions qui dépendent de la peine prononcée en plus de l’indemnisation de la victime.

                                                          Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                                                          Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

                                                          Exécution d’une décision du juge pénal

                                                          Vous souhaitez savoir comment une décision de condamnation prononcée par un juge pénal est mise à exécution ? Nous vous présentons les informations à connaître.

                                                            Le moment à partir duquel la décision de condamnation est mise à exécution dépend de la peine prononcée par les juridictions pénales.

                                                            En principe, le ministère public dispose d’un délai d’environ 15 jours à compter du moment où la décision est devenue définitive pour faire exécuter la condamnation pénale.

                                                            Il existe des exceptions. En effet, une sanction pénale peut s’appliquer avant que la décision soit devenue définitive dès lors qu’est prononcé :

                                                            • Un maintien en prison alors que le condamné était déjà emprisonné

                                                            • Un mandat de dépôt ou un mandat d’arrêt

                                                            • Une sanction contre un mineur, autre qu’une peine d’emprisonnement.

                                                            Les juridictions pénales peuvent également ordonner que la décision de condamnation soit mise à exécution juste après l’audience, notamment lorsqu’elles prononcent :

                                                            En savoir plus sur les règles applicables aux femmes condamnées enceintes

                                                            Si une femme enceinte de plus de 12 semaines est condamnée à une peine de prison ferme devenue définitive, le procureur de la République ou le juge de l’application des peines doivent faire en sorte que son exécution soit différée ou que la peine soit exécutée en milieu ouvert.

                                                              La peine d’amende peut être exécutée dès le prononcé du jugement ou lorsque la décision est signifiée à la personne condamnée.

                                                              Le  Trésor Public  doit s’organiser pour que le paiement de l’amende soit effectué dans les meilleurs délais.

                                                              Lorsque la peine d’amende a été prononcé par le  tribunal de police , le  tribunal correctionnel  ou le  tribunal pour enfants , la personne condamnée a 1 mois à compter du prononcé du jugement pour procéder au règlement.

                                                              À noter

                                                              Si la personne n’était pas présente à l’audience, le délai d’un mois court à compter de la signification du jugement.

                                                              Si l’amende est réglée dans ce délai, son montant est diminué de 20 % dans la limite de 1 500 € .

                                                              Il en est de même si la personne condamnée a commencé à régler l’amende, mais qu’elle a prévu un échelonnement avec le Trésor Public.

                                                              Exemple

                                                              Une personne est condamnée à une amende de 3 750 € . Si elle procède au règlement dès le prononcé du jugement, son amende peut être réduite de 20 % . Elle passe donc de 3 750 € à 3 000 € .

                                                              La même personne est condamnée à une amende de 10 000 € . Si elle commence à régler dès le prononcé du jugement et qu’elle a prévu un échelonnement, elle peut bénéficier d’une réduction de 1 500 € . L’amende s’élève donc à 8 500 € .

                                                                L’autorité compétente pour faire exécuter une décision pénale dépend de la peine prononcée et de la juridiction qui a jugé la personne condamnée :

                                                                • En cas de condamnation à une peine d’amende, le paiement est réclamé par le  Trésor public , au nom du procureur de la République.

                                                                • Lorsqu’une décision de condamnation est rendue par le  tribunal de police  ou le  tribunal correctionnel , le procureur de la République la fait exécuter.

                                                                • Lorsque la condamnation a été prononcée par la cour d’assises, c’est le procureur général qui doit mettre à exécution cette décision.

                                                                Pour que la décision soit mise à exécution, le ministère public doit vérifier l’identité du condamné, puis contrôler que la peine est exécutable.

                                                                La peine est exécutable lorsque les 3 conditions suivantes sont réunies :

                                                                En fonction de la peine prononcée, l’autorité compétente (ministère public ou  Trésor Public ) doit prendre des mesures supplémentaires pour que la décision soit appliquée.

                                                                Le Trésor Public doit toujours rechercher le paiement de l’amende.

                                                                Le mode de paiement de l’amende est précisé dans la décision de justice. En règle générale, l’amende doit être payée auprès d’un centre des finances publiques dont les coordonnées sont mentionnées dans la décision.

                                                                Si la personne ne règle pas tout ou partie de l’amende, elle peut être incarcérée.

                                                                  Pour que la décision soit exécutée, le procureur de la République doit simplement la notifier au condamné et en fournir une copie au juge de l’application des peines.

                                                                    Les mesures que prend le ministère public pour faire exécuter la décision ne sont pas les mêmes si le condamné est libre ou s’il est déjà en prison.

                                                                    Lorsque le condamné n’est pas encore détenu, le Parquet lui demande de se présenter dans un établissement pénitentiaire déterminé et dans un délai qu’il fixe.

                                                                    À savoir

                                                                    S’il existe un risque de fuite ou si la personne ne se présente pas, le ministère public peut faire appel aux forces de l’ordre pour l’arrêter.

                                                                    Puis, le ministère public transmet un extrait de la décision de condamnation au greffe de l’établissement pénitentiaire dont dépend le condamné.

                                                                    Si la personne a été condamnée à une peine de plus de 3 mois, le Parquet doit également fournir une notice dans laquelle sont précisés :

                                                                    • L’état civil du condamné

                                                                    • Sa situation professionnelle

                                                                    • Sa situation familiale (marié, pacsé, célibataire, etc.)

                                                                    • Son comportement habituel

                                                                    • Ses antécédents judiciaires.

                                                                    Dès réception de ces documents, la peine est mise à exécution.

                                                                      Lorsque la personne condamnée est déjà détenue (exemple : en cas de détention provisoire), le Parquet doit transmettre un extrait de la décision de condamnation au greffe de l’établissement pénitentiaire dont elle dépend.

                                                                      Si la personne a été condamnée à une peine de plus de 3 mois, le ministère public doit également fournir une notice dans laquelle sont précisés les informations suivantes :

                                                                      • L’état civil du condamné

                                                                      • Sa situation professionnelle

                                                                      • Sa situation familiale (marié, pacsé, célibataire, etc.)

                                                                      • Son comportement habituel

                                                                      • Ses antécédents judiciaires.

                                                                      Dès réception de tous ces documents, la situation carcérale de la personne est actualisée.

                                                                          Droit d’information de la victime

                                                                          Une fois la décision devenue définitive, la victime peut demander à être informée (ou à ne pas être informée) de la mise à exécution de la condamnation pénale et de la libération de l’auteur des faits.

                                                                          Pour cela, elle doit remplir un formulaire :

                                                                        • Recueil de la volonté de la victime d’être ou de ne pas être informée sur l’exécution de la peine
                                                                        • Elle doit joindre à sa demande une photocopie de sa pièce d’identité (par exemple, carte d’identité, titre de séjour en cours de validité).

                                                                          Ces éléments doivent être transmis au juge délégué aux victimes.

                                                                          Où s’adresser ?

                                                                           Tribunal judiciaire 

                                                                          Droit d’indemnisation de la victime

                                                                          La juridiction pénale peut condamner l’auteur des faits à verser une indemnisation à la victime.

                                                                          Dans ce cas, le versement des dommages et intérêts a lieu dans des conditions qui dépendent de la peine prononcée en plus de l’indemnisation de la victime.

                                                                        Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

                                                                        Faire sa demande en ligne

                                                                        Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
                                                                        Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.

                                                                        La cellule urbanisme reste votre interlocuteur privilégié pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à la solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr

                                                                        Contact